En ce moment, malgré un nouveau job formidable, un climat des plus enchanteurs, et des amis présents, je ne peux m’empêcher d’éprouver une profonde tristesse et une grande émotion envers une amie proche.

Parfois… On aimerait seulement pouvoir être à ses côtés et lui dire à quel point je regrette de ne pas pouvoir être présent lorsqu’elle en a le plus besoin…

Aurore boréale

Lorsque mes pensées s’envolent m’emmenant aux plus lointaines étoiles, à travers les galaxies et les nuages de poussières, seules deux choses sont alors en mesure de m’apaiser : la lecture/écriture et la musique.

Étant pianiste (niveau intermédiaire aujourd’hui), et guitariste novice, j’ai commencé depuis peu à travailler un morceau inconnu pourtant bien connu. L’éternelle rêverie du morceau « Romance » (morceau espagnol datant du XIXième siècle) dont le film « Jeux Interdits » (1952) l’a rendu célèbre.

Faute d’instrument à domicile mais ayant récupéré les partitions piano et guitare, je le joue « mentalement » sur une table en attendant de pouvoir la jouer chez mes amis.

Je me souviens la 1ère fois où je l’ai écouté. J’étais très jeune, un enfant, et le film passait sur une chaîne un soir. Un peu plus tard, mon père l’a enregistré en cassette audio et j’étais alors capable de l’écouter des heures sans jamais l’arrêter. Cette cassette s’est perdue aux aléas du temps mais mon souvenir de cet air ne m’a plus jamais quitté.

Aujourd’hui encore, cette mélodie continue de me bercer, pleine de tendresse et d’amour… C’est pourquoi, je la dédicace à mon amie Claire et je promets de la jouer au piano ou à la guitare pour mes amis dès que cela me sera possible.

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